Par un ciel peu engageant, sous l’œil d’un soldat vêtu de bleu, 25 GR partent du monument aux morts de Malicornay encadrés par Francis B. et Gilles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Empruntant la D45 qui longe le cimetière, nous montons vers la Ruiche puis  nous prenons un chemin qui mène à la Salle. Avant d’y parvenir nous bifurquons en direction de la Paillauderie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est de ce hameau que 7 PR, guidés par Hervé, se sont élancés sur le parcours commun qui conduit vers l’étang communal de la Fond Fougère avant de rejoindre l’antenne de télédiffusion haute de 200 mètres érigée en 2015.

Le groupe PR va ensuite prendre le sentier de la grande Brenne et continuer vers les Bois Ronds avant de revenir à son point de départ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les GR se dirigent vers le lieu-dit l’Oiseau, point haut culminant à plus de 260 mètres, où nous apercevons le chantier destiné à la construction d’une unité de méthanisation. Le site héberge un pylône TDF, haut de 204 mètres, mis en service au cours des années 1970 ainsi qu’un émetteur de télécommunications et un château d’eau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Passant à la Font au Pot et à proximité de l’ancien stade nous revenons vers le centre de la commune comptant environ 200 âmes qui présente la particularité d’être traversée par pas moins de trois lignes électriques à haute tension.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rendez-vous est pris pour une prochaine randonnée à Nuret le Ferron, le 3 mars, départ à 8h45 du parking de la salle des fêtes.

 

Texte de Francis B.

27 randonneurs (nous devions être 30 et merci à celles et ceux qui nous ont prévenus de leur absence), se sont donnés rendez-vous sur la place de la mairie à Prissac pour notre randonnée XL de fin d'hiver. 

8 heures sonnent au clocher de l'église Saint Martin donnant le départ du groupe en direction de la salle des fêtes et du stade que nous suivrons sur un sentier caillouteux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Le soleil va bientôt se lever pour estomper la légère gelée blanche matinale et ainsi, nous réchauffer! Dans ce chemin que nous prendrons aussi au retour, nous virons à droite au premier carrefour pour suivre les pistes d'envol "des ailes de Brenne" puis nous gagnons la Ratonnerie avant le gué sur la rivière "Sonne" que nous allons franchir par une passerelle un peu rustique mais efficace! Sur la droite, subsiste une fontaine ainsi qu'un ancien lavoir, celui du Prieuré et ses vielles demeures, tous proches...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur le bord du talus, un charme attire l'oeil du randonneur : la forme de son tronc lui donne vraiment un charme particulier!!!  et l'heure avançant, nous faisons une pause-café juste avant le village de Theuret.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au gué de Lavaud propriété de la famille Van-Ingen, nous ne résistons pas  à  la traditionnelle photo-souvenir au milieu des objets en bois, sculptés à la tronçonneuse. Avec l'autorisation du propriétaire, nous visitons l'expo au milieu du pré avec l'énorme tracteur, la moto ou le cheval, etc, etc... Là une autre famille, celle des ânes, adore et apprécie les nombreuses caresses prodiguées par nos marcheuses.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le gué de la Charpagne étant impraticable, c'est entre le moulin Bernard et le moulin Drap que nous franchissons la Sonne sur la RD32 que nous quittons aux Aubris pour aller vers le château de la Garde-Giron par une petite route peu fréquentée. Le château, dont on ignore la date exacte de sa construction, serait du XVème siècles ; ce fief relevait par la châtellenie de Vouhet, de la vicomté de Brosse. Son premier propriétaire connu est le capitaine de Châteauroux Alain Giron, époux de Catherine de Chauvigny et qui fut compagnon d'armes de Jeanne D'Arc.

Avant d'arriver au château, nous découvrons une chapelle, encerclée par la route et les broussailles. Celle-ci tout comme le château paraissant abandonnés, mériteraient peut-être un meilleur sort. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, il était loué pour quelques réceptions mondaines...    

Sur notre gauche, seul le pavillon de chasse est bien gardé ; n'est-ce pas Monique!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la Breuille où de nombreux chênes sont abattus, un vaste bâtiment couvert de panneaux solaires abrite un manège à chevaux. Ensuite nous contournons le bois de la Garde jusqu'à Saint Pierre où nous retrouvons le chemin de l'aller nous ramenant vers la salle des fêtes. Au passage, quelques curieux ont pu contempler les fresques murales découvertes lors de la récente restauration de l'église dont le vitrail de Saint Louis reproduit en arrière plan le château de la Garde-Giron. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est un peu plus de douze heures et le soleil est au zénith ; il est temps de déguster un succulent repas "chez Léon" le restaurant local !!! 

 

 

Merci à Bob et Jump ; nous leur souhaitons un bon anniversaire.

Texte de Gilles

Vendredi prochain, RV à Malicornay à 8h45 pour notre rando hebdomadaire ainsi que sur les coteaux d'Argenton pour les XXL et XL de mars.

 

Il est 9h et Hervé, après nous avoir donné les consignes, donne  le départ de cette randonnée prévue à Chasseneuil.

Une matinée, plutôt brumeuse et arrosée par une pluie fine, nous accompagne tout au long du circuit pédestre que nous redécouvrons, 34 GR guidés par Joël et Annick et 22 PR menés par Hervé, s’élancent d’un bon pas, tous bien couverts et apparemment en forme !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis la place de l’église nous empruntons la route départementale D1, en direction de la Pérouille, que nous quittons peu avant la Philippière pour atteindre le lieu-dit le Gué de Lavau où nous passons sur le pont qui enjambe le Bouzanteuil. Nous retrouvons la D1 au croisement des routes à la Croix des Mitatis afin de nous diriger vers les Mitatis Hauts où quelques maisons sont regroupées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir longés les bois des Tailles et les Fretiers nous changeons  d’orientation vers l’est et avançons le long du Grand Taillis pour rejoindre le village de La Minoterie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après ce village les PR empruntent un raccourci qui les dirige vers le Buisson Rond  pour rejoindre le parcours des GR au tunnel ferroviaire de Chabenet.

Quant aux GR la randonnée les mène au pont de Caillot, où se situe un élevage de volailles réputées pour leur qualité grâce à un élevage en liberté. A proximité de la voie ferrée Paris/Toulouse, ils avancent parallèlement à cette dernière durant 3km tout en longeant les Brandes de Vessière pour atteindre le  tunnel de Chabenet, pendant le parcours un TER les klaxonne lors de son passage : peut-être pour les encourager ? 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au niveau du tunnel les deux groupes marchent sur le même sentier, le long de la lisière du bois de Chabenet et des champs de Maurepas, qui les conduit au village La Petite Chaume. A la sortie de ce sentier, au niveau du calvaire, ils s’engagent dans le chemin du Bois des Nadots qui les ramène sur le parking du point de départ.

Malgré le temps maussade tout le monde a apprécié cette escapade au milieu des grands espaces et au grand air.

 

Texte de Joël 

 

 

 

Dans la froideur matinale de ce vendredi de février, c'est Le Menoux qui accueille notre randonnée hebdomadaire. Même si moins 4 degrés s'affichent au thermomètre ; le beau ciel bleu et le soleil vont embellir notre joli parcours. 

Les 11 PR au départ, sont guidés par Anne-Marie et je dirige les 43 GR avec l'aide de Philippe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons notre point de rencontre par les escaliers pour rejoindre aussitôt, la voie verte que nous allons suivre sur un bon kilomètre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aux Bignaux, nous descendons par un chemin creux, vers le gué du ruisseau de Longes Fonts et du riau des prés de l'Etang mais nous allons bifurquer à gauche et remonter à travers quelques rochers sur un sentier rocailleux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Au premier pont, les PR prendront à gauche alors que les GR irons à droite pour  faire une boucle de 2 km jusqu'à la côte à la Garaude près de Chavin. Au lieu de passer par les Cueillettes sur la route goudronnée, nous revenons par l'ancienne gare et l'ancien restaurant de la gare puis le viaduc par un beau chemin empierré.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A partir du pont où nous avions quitté les PR la première fois, nous empruntons le même parcours jusqu'à la fin de notre randonnée. 

La montée vers Princoureau est courte mais assez raide et heureusement qu'une petite halte nous permet se souffler avant la traversée de la route reliant le Menoux à Chavin.

Au village des Moreaux nous prenons un sentier herbeux qui monte, qui monte, et qui monte encore pour atteindre tout là-haut, le plateau des Cueillettes que nous avons visité il n'y a pas très longtemps. La vue y est magnifique et assez dégagée pour apercevoir de nombreux châteaux d'eau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous virons deux fois à gauche, sur un chemin plein d'herbes à travers les champs de culture de blé ou de colza et au bout du petit bois, certains randonneurs n'hésitent pas à poser leur séant sur un banc récemment restauré; mais il n'y a pas de place pour tout le monde !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Là, toute la vallée de la Creuse s'offre à nous et ce point de vue est superbe malgré la petite brume environnante. Un peu plus loin, en bas, c'est par la RD54, que nous terminons cette belle randonnée ensoleillée.

Texte de Gilles

Vendredi prochain nous irons à Chasseneuil

 RV à 8h45 sur la place de l'église de ce charmant village...

 

Nous sommes réunis ce mardi 7 Février pour notre XXL à PRISSAC. 

Par un froid vif mais un ciel bien dégagé, nous sommes un petit groupe de 11 randonneurs bien décidés à arpenter les chemins de la commune.

Le nom de Prissac est sans doute un dérivé de Prissacus qui signifie villa de Priscus. Cette présence romaine est confirmée par la proximité de la voie romaine reliant Argenton à Limoges.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Très jolie commune, Prissac ne manque pas d’intérêt, son église St MARTIN notamment, construite au XII et XVe siècle, qui a fait l’objet de restaurations successives jusqu'à la découverte de ses peintures murales. La commune possède également un musée* (matériel agricole, histoire de la Poste et imprimerie), 3 châteaux, un étang de pêche et elle est traversée par 3 rivières.

Le XIXe est l’époque où la commune fut la plus peuplée avec plus de 2000 habitants. Prissac compte alors de nombreux moulins à eau : 2 sur l’Abloux, 1 sur l’Anglin et 8 sur la Sonne. Ce sont pour la plupart des moulins à farine, quelques-uns à huile ou à tan. Celui du Moulin-drap fonctionnait encore en 1968.

Personnage connu, le journaliste-écrivain Gaston CHERAU, membre de l’académie Goncourt, a fréquenté occasionnellement la commune, une stèle est érigée à sa mémoire au cimetière de Prissac.

Nous démarrons donc notre randonnée en passant devant la salle des fêtes puis par un beau chemin empierré, nous contournons le site des pistes d’envol de Prissac ULM « Ailes de Brenne », mais ce matin pas d’engins volants sur les pistes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un peu plus loin, nous traversons une première fois la Sonne avant d’arriver au Prieuré, nous empruntons de beaux chemins pour arriver au lieu-dit Theuret que nous traversons.

Nous poursuivons notre route jusqu’au bois des Nougeries où nous faisons notre pause.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fois restaurés, nous regagnons Le Gué de Laveau et ses sculptures monumentales réalisées par Patrick Van Ingen que nous avons eu la chance de rencontrer. Fort de son métier de bûcheron, il manie la tronçonneuse pour réaliser des sculptures admirables, chiens, vaches, ours, tortues cerfs, ….

Mais son œuvre magistrale visible au Gué de Laveau, un tracteur de 10m50 de long et 4m50 de haut et 4m20 de large pesant 18 tonnes de bois.

Après cette visite, nous repartons en direction du Moulin drap, retraversons la Sonne pour regagner la route. Nous traversons le hameau des Aubris pour filer en direction du Château de la Garde après être passé à proximité d’un autre moulin, celui de la Charpagne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’accès au domaine se fait après avoir traversé une vaste cour au fond de laquelle un porche en plein cintre ouvre sur le parc.

Le château garde un aspect de forteresse avec ses tours à chaque angle, par contre de grandes fenêtres à meneaux égaient sa façade sur la cour. Son premier propriétaire connu était compagnon d’arme de Jeanne d’Arc, Alain Giron époux de Catherine de Chauvigny mort en 1458.

Nous poursuivons par la Breuille, longeons le bois de la Garde, le lieu-dit « St pierre » puis nous nous retrouvons près du terrain d’ULM, pour regagner le bourg de Prissac.

Le restaurant « Chez Léon » nous accueille pour un excellent repas, merci à Hervé et Jocelyne pour les boissons et aux filles pour l’animation !!!!

L’après-midi, nous ne sommes plus que 7 pour continuer notre randonnée. Nous repartons par la route de Bélâbre, passons devant le musée de Prissac, puis à la sortie du bourg nous bifurquons sur La Renonfiere, où se trouve la maison apicole Oizon. Il y avait autrefois un château à La Renonfiere au sommet du coteau, qui fut vendu comme bien national à la Révolution Française et qui a disparu au 19e siècle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre chemin nous fait traverser l’Abloux une première fois puis direction les Places et Charpenet. Si le parcours du matin était plat, celui de l’après-midi fut plus vallonné.

Après avoir traversé un bois nous arrivons à l’étang communal baptisé Remy LOUVEAU (le maire qui l’a fait creuser). On peut y pratiquer la pêche, un parcours de santé, installation pour les randos à cheval ou cycliste, mobilier pour fitness, ainsi qu’une halle couverte avec barbecue est à disposition du public.

Nous n’aurons pas le temps d’en profiter, nous poursuivons notre chemin par Fontmorand pour regagner le bourg de Prissac après une dernière « côte » par la rue des Gerbauds.

Une belle randonnée facile le matin, avec un peu de dénivelé l’après-midi et un bon accueil à midi, pour couronner le tout un temps idéal pour marcher.

 

 *  Le Musée de Prissac est né de la passion pour les machines agricoles de Pierre Cotinat dit “Chocolat”, un habitant de la commune.

Ce musée a été complété en 1993 par des matériels retraçant l’histoire de la Poste et en 1997 de ceux témoignant de l’évolution de l’imprimerie, d’où son appellation “Les trois musées”.

La commune attachée à cet équipement travaille pour poursuivre son ouverture au public.

 

Texte de Denis