Ce vendredi 10 mars, suite à un fort coup de vent durant la nuit, le rassemblement a lieu sur le parking proche du restaurant à Gournay.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La commune, membre de la communauté val de Bouzanne, compte à ce jour 284 habitants.

La météo a sans doute découragé une partie des participants habituels  car ce sont 21 GR guidés par Francis B et Philippe et 6 PR encadrés par Anne-Marie qui s’élancent en direction de Beauchat via la croix du même nom, empruntant le sentier balisé en jaune.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous traversons la D 42B au niveau de Chaumont puis tournons vers l’ouest jusqu’à l’intersection qui voit le groupe PR rejoindre la Chabanne et revenir jusqu’au village habité par les Gournaysiens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Continuant vers le nord, les GR traverseront la D 927 au niveau des Erablats pour se diriger vers les Rollins en franchissant  le ruisseau de l’Auzon.

Nous allons, cette fois, passer sous la route de la Châtre afin de retrouver le tracé qui nous ramènera vers la Chabanne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Longeant l’étang communal,  nous remontons vers les Vignaux puis  le centre municipal de Gournay où des travaux de terrassement sont en cours.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La sortie s’est effectuée sans précipitation et s’est terminée sous le soleil pour le plus grand plaisir de toutes et tous.

Texte de Francis B.

 

Vendredi 17 mars, la randonnée hebdomadaire se déroulera à Vigoux,

Départ du parking de la salle des associations.

 

 

 Randonnée XXL autour et dans ARGENTON sur CREUSE et SAINT-MARCEL le 7 mars

Pour la troisième XXL 2023 l’association nous a invités à découvrir ces deux communes du Val de Creuse.

 Située dans le sud du département de l’Indre, aux confins du Berry et du Limousin, citée dynamique au cœur de la vallée de la Creuse, Argenton est riche d’un patrimoine historique remarquable remontant à la préhistoire et à l’époque gallo-romaine.

Entre ‘’ Ville Haute ‘’ et  ‘’Ville Basse ‘’ d’une rive à l’autre de la Creuse, la Venise du Berry invite à la découverte également de son charme.

Cette randonnée permettra donc aux participants non argentonnais de découvrir autrement la ville et ses alentours tandis que les natifs confirmeront éventuellement leurs connaissances.

 

Rassemblés dès 8h00 au champ de foire* 22 randonneurs vont, sur un parcours de 18 km et par un temps propice à la randonnée, découvrir plusieurs facettes de la Venise du Berry.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous rejoignons donc par la promenade le long de la Creuse l’ancien moulin du Rabois**. Puis par les rues Duperthuis (du nom de l’hôtel particulier du XV et XVI siècle)   et de l’Abreuvoir nous rejoignons le vieux pont. Au passage une vue sur les hauteurs de la rive gauche de la Creuse et la rive gauche. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A partir du  vieux pont*** nous pouvons admirer les vieilles galeries***. Elles sont en amont sur la rive gauche et en aval sur la rive droite. A l’extrémité du pont les vieilles Boucheries. Nous prenons à gauche en direction de l’école de musique**** et de la chapelle Saint Benoit**** puis nous poursuivons par la rue Victor Hugo sur le GR du Pays du Val de Creuse jusqu’au chemin montant de la vigne aux chèvres*****. Quittant ce chemin balisé nous empruntons, sur la droite, les chemins montants sur la colline en direction de la zone industrielle des Narrons 1 et 2 puis du hameau de Fontfurat.

Empruntant le passage sous l’A 20, nous effectuons un parcours à travers champs en passant par les lieux-dits et hameaux du Breuil, l’Etang Marie, les Doucets, Bournoiseau et le terrain d’entrainement des sports mécaniques en bas de la colline.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Passant au dessus de l’A 20, nous rejoignons le site de la Bonne Dame****** par le GR en passant par les hameaux des Varennes, de la Chocaterie, les Maroux et l’avenue Rollinat. En cours de déplacement une vue sur la ville, le collège et lycée Rollinat. Sur l’esplanade de la Bonne Dame nous pouvons observer l’évolution de la ville depuis sa création ; la ville haute puis la ville basse, la période 1900 et enfin le XX siècle.

Nous redescendons, par les escaliers (!) en direction de la rue Victor Hugo et du vieux pont. Au début de la rue d’Orjon nous prenons à gauche l’impasse de Villers. Cette jolie petite ruelle pleine de charme, aux sombres portails, longeant l’arrière de l’hôtel particulier nous mène tout droit au parc de stationnement de Scévole puis au champ de foire. 

 

Cette première randonnée terminée nous sommes 16 à rejoindre à Saint-Marcel  le restaurant des Mersans pour un repas bien mérité.

 

A l’issue du repas nous sommes 15 rassemblés sur le parking d’Argentomagus pour un parcours de 8 km de découverte, en et hors ville, sur le circuit balisé jaune FFRP et avec l’aide des brochures de découverte du village médiéval et du chemin des croix.

La richesse et le nombre des bâtiments répertoriés ne permettront pas, dans un temps aussi court, de tout voir ; hormis la superbe maison à colombages ; la seule de la ville située rue du Carroir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au centre de la commune se trouvent l’église construite entre les VIII et XVI siècles, et le Prieuré  du 12ème.

La commune de Saint-Marcel est marquée par la période médiévale. Ainsi 11 édifices de cette période sont visibles dans le centre ville sans oublier des traces des remparts avec les portes de Lorette, du Cimetière et de Noiron qui commandaient l’accès à la ville. 3 chapelles sont encore présentes : Saint Vincent, Saint Marcel et Saint Anastase et Saint Marin ; sans oublier deux statuettes de Sainte Radegonde et de Notre Dame de Lorette dans leurs niches d’origine. De l’époque de la préhistoire à la fin de l’époque romaine le Musée et le site archéologiques d’Argentomagus ainsi le théâtre antique du Viro sont les témoins de cette époque. Une brochure guide détaillée est disponible à la mairie.

 

La prochaine randonnée XXL aura lieu le 4 avril à Azerables en Creuse.

 

Texte de Fancis N.

 

 

Renseignements complémentaires sur Argenton sur Creuse :

Argenton sur Creuse : a succédé à la cité gallo-romaine de Saint Marcel.

Durant le Moyen Age elle devient une place fortifiée sur la colline dominant la Vallée.

 *Le Champ de Foire : créé au XVIII siècle, près de l’enclos des Cordeliers, il recevait plusieurs foires annuelles très importantes mais aussi les mensuelles très appréciées de la population. Il a été réaménagé en 1994. 

La Creuse : vient du mot celtique Caro qui signifie rivière des rochers. Elle prend sa source au plateau des Mille Vaches à côté du village du Mas d’Artige. D’une longueur totale de 255 km jusqu’au confluent elle est très enclavée jusqu’au Menoux ; la ville d’Argenton se situant à 148 km de sa source.

 Ses crues sont nombreuses entre 1408 et 2008 ; les plus importantes en 1845, 1848 et 1960 ; en témoigne une indication sur le mur du magasin de nettoyage à sec devant l’église Saint Sauveur.

**Le Moulin du Rabois / Maison d’Arts : créé au XIV siècle, successivement moulin à foulon, à tan et dernier moulin à farine en activité de 1913 à 1997 ; acheté puis rénové par la ville il est depuis une quinzaine d’année << Maison des Arts >> abritant l’atelier du Cercle des Beaux-arts pour enfants et adultes ainsi que  deux associations d’arts visuels et une galerie d’Art contemporain.

***Le vieux pont : au XVème siècle il relia la ville haute établie au pied du château, à la ville Basse qui s’étendra sur la rive droite de la Creuse 

***Les anciennes maisons à galeries et balustrades : elles sont des balcons des maisons qui bordent la Creuse. L’ensemble du site est en principe protégé depuis 1932. Leur raison d’être est l’impôt foncier sur la surface du sol et non pas sur la surface habitable ; cela permettant aux propriétaires d’agrandir leurs maisons.  

Les vieilles boucheries : ainsi appelées à causes des étaux de boucherie. Cette rue fut agrandie en1885. Puissants et riches les bouchers faisaient partie d’une forte corporation respectée et redoutée du fait de leurs activités sanguinaires !

****Ecole de musique et de danse : initialement collège puis prison en 1787 elle abrite actuellement l’école de musique. Le collège avait sa chapelle, l’actuelle chapelle Saint Benoit. La façade de la prison est agrémentée d’une tourelle hexagonale, elle-même ornée d’une porte ogivale fleurie d’arcs gracieux.

****La chapelle Saint Benoit : construite de 1497 à 1502, son clocher est recouvert de bardeaux en châtaigner. D’abord salle de classe pour les séminaristes elle devient, à la Révolution, un entrepôt de grains et une annexe du marché au blé jusqu’en 1872. Inscrite aux monuments historiques depuis 1908. Désacralisée depuis des années elle est mise à disposition d’associations d’artistes et du Cercle d’histoire.

*****Le chemin de la vigne aux chèvres : un jour, Perrine permit à ses chèvres d’y gambader sans surveillance et d’aller goûter aux raisins bien mûrs ! L’aventure fit-elle tant de bruit que l’on a baptisé le chemin de cette escapade ?

 La zone industrielle des Narrons 1 et 2 : installée à la sortie d’Argenton en direction de Limoges et A 20

******La chapelle de la Bonne Dame : auparavant Notre-Dame-des-Blancs puis chapelle du château fut restaurée à la fin du XIX siècle. A l’intérieur une petite statue de la vierge en pierre qui rappelle l’intercession divine arrêtant l’épidémie de peste entre 1622 et 1632 ; sauvant ainsi de nombreux argentonnais.

En 1899  une statue monumentale de 6 tonnes et dorée de la Vierge portant enfant et protégeant la ville de son bras levé fut installée au fait du toit de la chapelle. En juillet de la même année eut lieu la cérémonie de la bénédiction et l’inauguration dans la liesse populaire .Un pèlerinage des malades se déroule toujours en

septembre de chaque année. Restaurée en 1951 puis en 1987-1988 elle vient d’être redorée.

 

Pour cette première randonnée du mois de Mars nous sommes réunis à NURET le FERRON, ses habitants « les ferronnais (es) » sont au nombre de 291 au dernier recensement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hervé nous annonce les différentes randonnées du week-end, puis nous partons pour 8,5 kms pour les 13 PR guidés par Denis N., et pour 11 Kms pour les 38 GR guidés par Denis B et Jacqueline M.

Nous partons en direction de Méobecq, puis empruntons la petite route du cimetière situé à l’extérieur du bourg,  un peu après, nous prenons un chemin à gauche nous emmenant aux Chervis.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au Chervis nous prenons la route à droite jusqu’au carrefour des Landis. Tandis que les PR filent tout droit vers les Caillots, les GR prennent le chemin à gauche qui les emmène vers les bois de l’Epinay.

Au carrefour nous rencontrons  un agriculteur qui venait de changer ses vaches de champs, mais surprise un peu plus loin dans le chemin nous apercevons une vache (au milieu du chemin) qui n’avait pas suivi le reste du troupeau. Plus nous avancions plus la vache apeurée s’éloignait. L’agriculteur nous a demandé de rebrousser chemin pour passer par le champ, pour permettre à l’animal de revenir sur ses pas. Nous traversons donc le champ, mais l’animal ne l’entendait pas ainsi, et traversait la haie pour venir en notre direction en faisant mine de charger.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendant ce temps à l’entrée du champ l’agriculteur ayant ramené le veau appela la mère qui, voyant son petit se calma et se dirigea vers lui, non sans avoir une dernière fois fait mine de charger les randonneurs à l’arrière du groupe.

Tout finissait bien la mère retrouvait son petit et repartait tranquillement retrouver ses congénères, guidée par l’agriculteur.

Il ne nous restait plus qu’à franchir la haie pour regagner le chemin et poursuivre notre randonnée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous atteignons le hameau des Fenêts bien connu par sa ferme et les fromages de chèvre de JENNY (qui, malheureusement pour les amateurs, a pris sa retraite).

Nous poursuivons notre chemin jusqu’aux Caillots où sont passés les PR avant nous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après une courte pause, nous repartons, quittons le hameau et empruntons un chemin un peu humide sur notre droite qui nous mène sur la route de La Pérouille, que nous traversons pour prendre un dernier chemin herbeux et rejoindre le hameau des Fragnets.

Il ne nous restera plus que de la route pour rejoindre notre point de départ.

Belle randonnée, par un temps gris mais de saison avec quelques péripéties.

 

Texte de Denis B.

 

A vendredi prochain, à GOURNAY, pour un nouveau parcours.

 

Par un ciel peu engageant, sous l’œil d’un soldat vêtu de bleu, 25 GR partent du monument aux morts de Malicornay encadrés par Francis B. et Gilles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Empruntant la D45 qui longe le cimetière, nous montons vers la Ruiche puis  nous prenons un chemin qui mène à la Salle. Avant d’y parvenir nous bifurquons en direction de la Paillauderie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est de ce hameau que 7 PR, guidés par Hervé, se sont élancés sur le parcours commun qui conduit vers l’étang communal de la Fond Fougère avant de rejoindre l’antenne de télédiffusion haute de 200 mètres érigée en 2015.

Le groupe PR va ensuite prendre le sentier de la grande Brenne et continuer vers les Bois Ronds avant de revenir à son point de départ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les GR se dirigent vers le lieu-dit l’Oiseau, point haut culminant à plus de 260 mètres, où nous apercevons le chantier destiné à la construction d’une unité de méthanisation. Le site héberge un pylône TDF, haut de 204 mètres, mis en service au cours des années 1970 ainsi qu’un émetteur de télécommunications et un château d’eau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Passant à la Font au Pot et à proximité de l’ancien stade nous revenons vers le centre de la commune comptant environ 200 âmes qui présente la particularité d’être traversée par pas moins de trois lignes électriques à haute tension.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rendez-vous est pris pour une prochaine randonnée à Nuret le Ferron, le 3 mars, départ à 8h45 du parking de la salle des fêtes.

 

Texte de Francis B.

27 randonneurs (nous devions être 30 et merci à celles et ceux qui nous ont prévenus de leur absence), se sont donnés rendez-vous sur la place de la mairie à Prissac pour notre randonnée XL de fin d'hiver. 

8 heures sonnent au clocher de l'église Saint Martin donnant le départ du groupe en direction de la salle des fêtes et du stade que nous suivrons sur un sentier caillouteux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Le soleil va bientôt se lever pour estomper la légère gelée blanche matinale et ainsi, nous réchauffer! Dans ce chemin que nous prendrons aussi au retour, nous virons à droite au premier carrefour pour suivre les pistes d'envol "des ailes de Brenne" puis nous gagnons la Ratonnerie avant le gué sur la rivière "Sonne" que nous allons franchir par une passerelle un peu rustique mais efficace! Sur la droite, subsiste une fontaine ainsi qu'un ancien lavoir, celui du Prieuré et ses vielles demeures, tous proches...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur le bord du talus, un charme attire l'oeil du randonneur : la forme de son tronc lui donne vraiment un charme particulier!!!  et l'heure avançant, nous faisons une pause-café juste avant le village de Theuret.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au gué de Lavaud propriété de la famille Van-Ingen, nous ne résistons pas  à  la traditionnelle photo-souvenir au milieu des objets en bois, sculptés à la tronçonneuse. Avec l'autorisation du propriétaire, nous visitons l'expo au milieu du pré avec l'énorme tracteur, la moto ou le cheval, etc, etc... Là une autre famille, celle des ânes, adore et apprécie les nombreuses caresses prodiguées par nos marcheuses.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le gué de la Charpagne étant impraticable, c'est entre le moulin Bernard et le moulin Drap que nous franchissons la Sonne sur la RD32 que nous quittons aux Aubris pour aller vers le château de la Garde-Giron par une petite route peu fréquentée. Le château, dont on ignore la date exacte de sa construction, serait du XVème siècles ; ce fief relevait par la châtellenie de Vouhet, de la vicomté de Brosse. Son premier propriétaire connu est le capitaine de Châteauroux Alain Giron, époux de Catherine de Chauvigny et qui fut compagnon d'armes de Jeanne D'Arc.

Avant d'arriver au château, nous découvrons une chapelle, encerclée par la route et les broussailles. Celle-ci tout comme le château paraissant abandonnés, mériteraient peut-être un meilleur sort. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, il était loué pour quelques réceptions mondaines...    

Sur notre gauche, seul le pavillon de chasse est bien gardé ; n'est-ce pas Monique!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la Breuille où de nombreux chênes sont abattus, un vaste bâtiment couvert de panneaux solaires abrite un manège à chevaux. Ensuite nous contournons le bois de la Garde jusqu'à Saint Pierre où nous retrouvons le chemin de l'aller nous ramenant vers la salle des fêtes. Au passage, quelques curieux ont pu contempler les fresques murales découvertes lors de la récente restauration de l'église dont le vitrail de Saint Louis reproduit en arrière plan le château de la Garde-Giron. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est un peu plus de douze heures et le soleil est au zénith ; il est temps de déguster un succulent repas "chez Léon" le restaurant local !!! 

 

 

Merci à Bob et Jump ; nous leur souhaitons un bon anniversaire.

Texte de Gilles

Vendredi prochain, RV à Malicornay à 8h45 pour notre rando hebdomadaire ainsi que sur les coteaux d'Argenton pour les XXL et XL de mars.