8 heures à Tendu ce matin-là, quelques difficultés pour le parking improvisé en pleine campagne. Gare aux engins agricoles hors gabarit ! Les esprits sont à la fête. Il ne fait pas encore trop chaud. Nous sommes bien sages, sauf des dissipés bavards qu’on ne citera pas, à l’écoute de Francis B, pour l’actu rando, en l’absence de nos dévoués chefs, Hervé M et Denis B.

Un autre Denis en profite pour citer 3 événements du spectacle vivant où il est impliqué, d’ici fin août : Nuits des Etoiles à Maillet, Son & lumière à Archy et la batteuse à Chamorin. 

C’est parti ! Au début, les PR ne sont que 13, chiffre bancale ! Mais l’effectif monte bientôt à 14, grâce au renfort d’une dame des GR, partie un peu vite avec eux, toute contente de sauter dans notre voiture-balai. Le groupe est agréable, les grommellements du seul bougon étant couvert par notre silence assourdissant… On ne lui en veut pas, et on lui doit beaucoup, comme aux autres guides-doublement retraités

On glose sur la taille des mures -mûres ou pas tout-à fait encore. Quelques tournesols nous feront coucou tout au long de ce parcours plat, mais sympa. On ne fera même pas de stop botanique… tout se perd !

Un arrêt au puits-tunnel, trou profond pour le dégagement de la pression créée par les trains. Hélas, pas de passage quand nous sommes penchés 2 ou 3 mn sur la grille. Jacky affirme que, du temps de sa jeunesse à Chasseneuil, de grille point ! "On faisait attention, c’est tout"… Ceux qui ne connaissent pas encore ce lieu iront entendre l’énorme bruit et sentir le sol bouger au passage d’un train : frisson garanti, même après plusieurs expériences !

On s’autorise une déviation en parallèle de la voie officielle (ferrée). Quelle idée ! Le même, local et fringant Jacky, retraité, nous dit que le hameau que l’on traverse alors, s’appelle "les dauphins". Le guide lui, lit son plan et affirme que c’est "le buisson blanc". On échappe à une bagarre générale ; un vote entre les 14 clôt le débat : va pour les dauphins ! A part que la mer, elle est loin ! Mais la voie ferrée, elle est tout près -ouf ! On la suit sagement (non, pas sur les rails !), jusqu’à un chemin parallèle à la route qui nous ramène vers les voitures. Dans un joyeux désordre, la troupe s’égaye au retour sur le chemin de terre  : le guide (pourtant auteur de la charte RDVC), se croyant autorisé à papoter (pour les encourager) avec les retardataires en fin de groupe. Allez, on s’est bien dégourdi les jambes ! La langue aussi -ah bon ?

 

Texte de Denis N. 

 Photos de Jean-Yves et Chantal

 

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Nous sommes rassemblés aujourd’hui pour une randonnée sur la commune de Tendu, notre rendez-vous se situe au niveau des Cassières ; pour y accéder nous devons quitter le bourg de Tendu par la D1a, et au premier carrefour nous tournons à droite pour rejoindre le sentier communal où se situe notre point de départ, c’est là que nous allons garer nos voitures. Il fait beau et le température est agréable.

Les 27 GR encadrés par Joël et Francis B. doivent parcourir 10,7 km,  les 15 PR qui sont menés par Denis N. feront 6,5km.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant de partir Francis B nous donne les explications sur notre circuit et sur les randonnées à venir et celles prévues dans la région. 

Tout le monde est prêt et nous nous engageons dans un beau chemin large et très praticable, nous marchons en bordure du bois des Loges et nous bifurquons par deux fois pour arriver au niveau du tunnel de la ligne de chemin de fer « Paris-Toulouse », à cet endroit nous faisons une courte pause pour découvrir, dans le petit bois à droite de notre sentier, le puits d’aération du tunnel puis nous repartons en longeant la voie ferrée jusqu’au Pont de Caillots. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est là que les PR nous quittent et prennent un sentier sur la droite, ils traversent la Brande du Bois Nicolas et rejoignent la D1a pour retrouver le point de départ.

Les GR empruntent le pont et s’engagent dans un petit chemin, leur attention est attirée par le cri des pintades : on dit qu’elles craillent ou qu’elles cacabent. Ici, un éleveur de volailles en liberté s’est installé près d’un bois ce qui donne un espace privilégié et protégé pour ses petits occupants. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ensuite leur itinéraire les emmène jusqu’à Saint Luc : deuxième petite pause pour aller voir la « chapelle Saint Luc », elle se trouve sur la commune de Chasseneuil et à proximité coule le Bouzanteuil. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis ils repartent vers les Jampez et avancent jusqu’à la D30 qu’ils prennent pour atteindre La Planchette, puis les Communaux. Au croisement ils tournent à droite, traversent les lotissements pour rejoindre le parking du départ en marchant sur  des chemins et des petites routes.

 

Texte de Joël 

  Photos de Chantal